Un bébé, un REEE | Article de blogue de Kaleido
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Un bébé, un REEE

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29 août 2018

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Voilà qu’un petit être va venir agrandir la famille dans quelques mois et je pense déjà à lui ouvrir un régime enregistré d’épargne-études (REEE). Cela peut paraître étrange d’y penser si tôt, avant même la naissance. Et pourtant!

Petit à petit, l’oiseau fait son nid

Vous connaissez la fable de la cigale et la fourmi? Eh bien moi, je suis plutôt du genre fourmi. Prévoyante, pas avare, mais économe.

Je gagne un salaire moyen, mais j’essaie tout de même de mettre un petit peu de côté à chaque paye. En plus, comme on dit, « loin des yeux, loin du cœur » : je n’ai pas tendance à dépenser l’argent placé, puisque je ne le vois plus dans mon compte courant.

Un placement qui rapporte

J’ai la chance de faire partie de ceux qui savent que le REEE est le meilleur placement pour planifier l’avenir de son enfant. La raison première, ce sont les généreuses subventions gouvernementales : au Québec, elles bonifient d’au moins 30 % les premiers 2 500 $ versés chaque année dans des REEE pour un bénéficiaire1, et c’est au moins 30 % de subventions accessibles pour tout le monde. Oui, oui, tout le monde! Alors, pourquoi s’en priver?

À l’inverse, pas de REEE, pas de subventions.

Épargner tôt : longtemps, mais sûrement

Je suis aussi conscientisée au fait que plus tôt on commence à cotiser, plus on fait fructifier son argent pendant longtemps. Ça, ça parle à la fourmi que je suis!

Je n’ai pas les moyens de placer des sommes astronomiques d’un coup dans mon REEE. Non, encore une fois, je suis plutôt fourmi, pas éléphant! Dans mon cas, mieux vaut commencer avec des petits montants, l’idée étant de ne pas m’étrangler financièrement. Et plus tard, quand ma capacité financière augmentera, je pourrai augmenter mes cotisations.

Il est cependant toujours plus intéressant de cotiser dès que possible et à long terme, car les sommes investies dans le REEE fructifient plus longtemps à l’abri de l’impôt, autant l’épargne que les subventions versées par le gouvernement. C’est doublement intéressant!

Je compte d’ailleurs choisir une option de cotisation mensuelle. De cette façon, mes cotisations se feront automatiquement à partir de mon compte bancaire et je serai certaine d’atteindre mes objectifs d’épargne à la fin de l’année! Tout va rouler tout seul!

Parce que je pense fourmi, mais aussi tranquillité d’esprit.

 

Émilie

Notes légales

1. Subvention canadienne pour l’épargne-études (SCEE) de 20 % à 40 % et Incitatif québécois à l’épargne-études (IQEE) de 10 % à 20 %. Selon le revenu net familial ajusté. Le montant maximum annuel versé en SCEE est de 600 $ et de 300 $ en IQEE. Le montant maximum versé à vie par bénéficiaire est de 7 200 $ en SCEE et de 3 600 $ en IQEE. Bon d’études canadien (BEC), pouvant atteindre 2 000 $ par bénéficiaire, pour un enfant né après le 31 décembre 2003 et dont la famille est financièrement admissible. Certaines conditions s’appliquent. Consultez notre prospectus.